Un spectacle intense à la puissance cathartique.
Le Monde
Lorraine de Sagazan, toujours inattendue, organise une cérémonie ambitieuse et d’une beauté fulgurante.
TTT Télérama
« Un sacre » est une tempête d’émotions, un théâtre des affects jouant avec le réel et la fantaisie, l’intimité et le partage. Entre rire et larmes, ce spectacle emporte tout sur son passage.
Les Échos
Un sacre
Il aura fallu qu’elle en soit brutalement privée pour que la société occidentale se rappelle subitement l’importance de dire au revoir à ses morts. Le temps d’Un sacre lumineux et réparateur, Lorraine de Sagazan offre une occasion de rejouer collectivement quelques départs inachevés.
Un spectacle intense à la puissance cathartique.
Le Monde
Lorraine de Sagazan, toujours inattendue, organise une cérémonie ambitieuse et d’une beauté fulgurante.
TTT Télérama
« Un sacre » est une tempête d’émotions, un théâtre des affects jouant avec le réel et la fantaisie, l’intimité et le partage. Entre rire et larmes, ce spectacle emporte tout sur son passage.
Les Échos
Lorraine de Sagazan parle de son spectacle
Consulter
Une sélection de références bibliographiques vous est proposée en partenariat avec le réseau des médiathèques Clermont Auvergne Métropole.
> À consulter en ligne
Lire
- Un sacre / La vie invisible de Guillaume Poix aux Éditions Théâtrales (théâtre)
- La bibliographie de Guillaume Poix
- Au bonheur des morts de Vinciane Despret
- Article The Conversation
« Comment le COVID malmène les rites et le temps du deuil » - Portait de Lorraine de Sagazan
Parcours d’artiste par Mélanie Jouen – Artcena
À lire ici
Écouter
- « À quoi pensez-vous, Lorraine de Sagazan »
Un billet d’humeur de 2 minutes autour de Un sacre
France Culture, mars 2021
À écouter ici - « Lorraine de Sagazan : Dans cette pièce, on a cherché une autre manière de penser la mort »
Par les temps qui courent, France Culture, nov. 2021, 49 min
À écouter ici - « Lorraine de Sagazan : La recherche de l’âme, la parole de l’âme : j’ai l’impression qu’il n’est question que de cela » – Portrait par Arnaud Laporte
Affaires culturelles, France culture, mars 2021, 55 min
À écouter ici - Entretien avec Lorraine de Sagazan
Parcours d’artiste, une série de podcasts d’ARTCENA, 49 min
Voir
- « Et si on ne faisait pas son deuil » à voir ici
Les idées larges avec de Vinciane Despret, ARTE – 20 min
La pandémie a parfois rendu impossible le processus de deuil, en restreignant le nombre de personnes aux enterrements. Aux côtés de la philosophe belge Vinciane Despret, auteure de l’essai « Au bonheur des morts – Récits de ceux qui restent » (2015, La Découverte), Laura Raim explore le rapport que nous entretenons avec les défunts.
- « Lorraine de Sagazan : Portrait de pensionnaire »
À l’occasion de sa résidence d’un an à la Villa Médicis, Lorraine de Sagazan s’intéresse à la justice contemporaine, et plus particulièrement aux alternatives parfois méconnues telles que la justice restaurative.
Interview filmée par la Villa de Médicis
En écho
- « Delphine Horvilleur, philosopher avec la mort »
« Le langage échappe à la mort. Quand on accompagne des endeuillés et qu’on cherche à placer des mots, c’est une façon de dire que la mort n’aura pas le dernier mot, puisque notre langage va échapper à ses ténèbres. Quand on conserve les mots, on fait un peu gagner la vie. »
Delphine Horvilleur
La Grande table idées, France Culture, mars 2021, 32 min
À écouter ici
Extraits d’entretien avec Lorraine de Sagazan
« Lors de la crise sanitaire due à la pandémie, on a vécu quelque chose de complètement inédit, qui relève même de la rupture anthropologique majeure, puisque beaucoup de gens n’ont pas pu se dire au revoir, la mort a été particulièrement isolée, et en temps de paix, c’est une chose qui n’était jamais arrivée. Les adieux impossibles et la mort solitaire m’ont semblé tellement graves, choquants et bouleversants, que j’ai voulu questionner les rites funéraires, qui sont quand même un des fondements de notre humanité. »
« Le rituel est une façon d’organiser le chaos dans l’intimité de quelqu’un, de même que la fiction est là pour organiser le chaos du réel. »
« Je déteste quand on fait semblant de pleurer sur scène, et je dis souvent aux acteurs de ne pas faire semblant, mais de faire exprès. Je ne cherche pas à représenter, à faire semblant, mais j’essaie de reprendre ce qu’est l’actrice ou l’acteur à la source, c’est-à-dire, quelqu’un qui fait un acte: à chacun de trouver son chemin. »
Par les temps qui courent » / France Culture
OCTOBRE
MERCREDI 16
19h30
JEUDI 17
20h
A partir de 15 ans